Perlesananou, c’est fini, il est temps de tourner la page… Comme on dit dans Emilie Jolie, « est-ce la fin du début, ou le début de la fin ? », on verra bien…

  Vous pouvez donc me retrouver désormais ici : http://ratoncouseur.canalblog.com/ . On va voir si je m’y tiens… mais, peu de chance que je change du jour au lendemain, je resterais toujours un raton couseur un peu, mais rêveur beaucoup…

Enfin celui réalisé par moi pour ma maman, mes fils ne savent pas encore se servir d'une machine à couture (ndt : expression inventée par le petit pirate pour désigner une machine à coudre). Non pas que je prétende savoir m'en servir, m'enfin je sais déjà où se trouve le bouton marche-arrêt, et comment coudre (mais j'ai pas encore compris comment on fait pour coudre droit... C'est un mystère : pourtant j'ai arrêté de picoler il y a longtemps déjà...).

Trêve de plaisanterie. Voici l'objet du délit :

Vous aurez bien sûr reconnu le must have de cette saison automne-hiver printemps-été 2012 : le petit haut à manches froncées de Dame Citronille, dans le bien-nommé Coton, Lin et Liberty. Je continue donc mon exploration méthodique de l'ouvrage (en toute logique, je devrais bientôt attaquer la marinière, mais par contre, la robe bain de soleil ne passera pas par ce blog, non, non, non !). On s'est laissé dire que certaines avaient été effrayées par l'effet montgolfière très prononcé de ladite tunique. En effet, il est recommandé de prendre une taille en-dessous de la taille habituelle du sujet à qui est destiné l'objet, en l'occurence : ma mère...

Ce que les photos ne disent pas, c'est qu'elle a risqué une pneumonie pour satisfaire mon caprice de photos en extérieur : résultat des courses : c'est moi qui suis malade... Ca m'apprendra...

Haut à manches froncées, issu de Coton, Lin et Liberty, d'Astrid Le Provost, dans un coton des Coupons Saint-Pierre (Ca ne se voit pas, mais il y a des petites touches dorées dans le motif). Boutonnière ratée à la place de la bride (j'aurais pas dû !).

The noodle touch : le petit sac cadeau réalisé avec des photocopies de documents anciens :

Le printemps est enfin là. Les petits oiseaux chantent et les fleurs qui ont résisté aux trombes d'eau du mois de mai, nous donnent enfin leur parfum capiteux à respirer. Oui bon d'accord, aujourd'hui, il fait tout gris et lourd, mais laissez-moi rêver un peu !

Il y a trois semaines de ça, j'ai trouvé Coton, Lin et Liberty à 5 euros sur un vide-greniers. J'ai feint l'indifférence, regardé les autres objets et livres vendus par la dame, mais dès que j'ai vu une potentielle concurrente approcher du stand, je me suis ruée sur mon porte-monnaie et j'ai embarqué ledit ouvrage, vite-fait-bien-fait, ni-vu-ni-connu-j't'embrouille.

Me voilà donc nantie du livre en question. J'ai donc commencé par le premier modèle : soyons logique et rationnels ! Donc, le haut à bretelles, en taille 38, pour mon 38 du commerce. Miracle, tout va bien au niveau de la taille !

Les rondins de bois du fond du jardin, c'est pour montrer mon potentiel bucheronnesque en matière de couture... L'expression n'est pas de moi, mais d'une célèbre blogueuse couturière, j'ai nommé Laudette, mais je la reprends à mon compte (l'expression, pas Laudette).

J'en veux pour preuve cette boutonnière ratée :

M'enfin sinon, je suis très contente du résultat. Il était temps de revenir à des vraies valeurs, des choses simples de manière à avoir enfin quelque chose de portable à montrer ... J'ai traversé une grosse phase de stagnation (cf cet article sur thread and needles), ce qui est très grave en couture, ça peut vous conduire une fille en dépression en moins de temps qu'il n'en faut pour remplir une canette, un truc comme ça. Faut faire gaffe. Seule solution pour s'en sortir : acheter un joli tissu à fleurs et coudre un truc qu'on est à peu près sûre de réussir... A bon entendeur, hein ma Béa ?

Alors parlons du tissu, justement. Aujourd'hui, tout se perd, dès qu'une petite fleur pointe le bout de sa pétale sur un morceau de tissu, on appelle ça Liberty. Alors là je dis non, attention ! Pourtant, cette adorable petite chose m'a été vendu par un mercière comme étant du Liberty, à un prix encore plus cher que du Liberty... J'ai senti le coup foireux mais j'ai rien dit ("comme la reine des épaisses", comme dirait Lynda Lemay). Ca a l'odeur du Liberty, le toucher, le prix (et même un peu plus). D'aucuns diront que je suis une râleuse jamais contente, et que j'avais qu'à pas l'acheter... C'est pas faux... Il s'agit donc d'un tissu Lecien Froufrou de Paritys, trouvé à Brive-La-Gaillarde, à la mercerie Imagine, 29 euros le mètre... Bé oui, les joies de la province pour trouver du tissu...

Une dernière pour la route :

Haut à bretelles du livre Coton, Lin et Liberty d'astrid Le Provost, en taille 38, sans aucune modification. Tissu Lecien Froufrou, mercerie Imagine, à Brive-la-Gaillarde.

Et puis s'il se remet à pleuvoir, je pourrais toujours sniffer les fleurs de mon petit haut à bretelles, hé hé !

Me revoilà tout doucement ! Il y a quelques temps déjà, j'ai réalisé ce petit gilet de cow boy qui était à l'origine destiné au grand pirate rebelle. Il s'agit du gilet de fermier du Boys and Girls, dont j'ai supprimé la ceinture, pour le faire ressembler au gilet du prince des fleurs de Citronille. En taille 100 (ça taille petit).

Voici la bête :

Le pirate rebelle (3 ans et demi, je rappelle) m'a regardé venir avec mon sourire aux lèvres et mon petit gilet et il a décoché cette phrase lapidaire, cinglante et irréversible : "Mais Maman, je suis pas un schtroumpf, moi !". Autant dire, va te r'habiller avec ta serpillère, tu peux te gratter, j'en veux pas. Passée la douleur de cet affront, trois réflexions s'imposent :

1. Ne jamais paraître contente d'habiller son enfant. Toujours prendre un air distant et détaché, genre "je l'ai acheté à Kiabi à 5 euros, c'est sûrement fabriqué par des enfants un tout petit peu plus grands que toi au Bangladesh (cf Cash investigation sur France 2), ça fera bien l'affaire". En fait, il vaut mieux ne rien dire du tout...

2. Ne jamais leur dire : "Mon chéri, je regarde ce que je t'ai cousu avec amour pendant les quelques soirées où tu a daigné dormir avant 10 heures, c'est beau non ?". Vous vous exposez direct à des réflexions cinglantes (voir plus haut).

3. Je vais plutôt coudre pour moi...

Heureusement, il me reste un gnome plus petit qui est toujours content (pour le moment), qu'on lui couse des habits (ou du moins qui s'en fout éperdument) :

Mes deux gnomes (16 mois et bientôt 4 ans) font le même poids et bientôt la même taille (j'exagère à peine pour la taille, on va pas chipoter pour 10 cm, et pas du tout pour le poids). Donc, ce qui va à l'un va à l'autre...

Détails :

Mes premières boutonnières réussies grâce à ma nouvelle machine à coudre... Ce qui a fait dire à l'homme qui me regardait : "pfff, aucun mérite...". C'est pas faux.

Manque plus que le Stetson et les santiags, avec une doublure comme ça et vous obtenez Lucky Luke !

Gilet issu de Boys and Girls, retravaillé pour ressembler au Gilet "Prince des fleurs" de Citronille. Boutons et tissus Michaël Miller, de chez Fifi Jolipois à Toulouse. Tissu "bleu schtroumpf", genre ameublement, coupon à 1 euro chez Totem, à Marsac (un des deux seuls magasins de tissus de la ville).

Ca y est, je suis l'heureuse propriétaire d'une Machine à coudre (une vraie, pas une fisher price !). Pour fêter ça, je tiens à remercier l'ensemble de mes sponsors bien-aimés :

Attention, ça va chauffer !!!!

Elle s'ennuie... Parce qu'elle n'a plus de machine à coudre... Parce qu'elle n'a jamais 2 secondes pour elle... Va falloir que ça change... Pour commencer, des jolies petites pauses à midi... Le reste suivra... en-cours n°23655 : un grr de la droguerie

J’imagine bien que tout le monde va se ruer sur ce message, au vu du titre, alors on se caaaaaalme : voilà de quoi il s’agit : je possède une machine à coudre CASSEE singer Europa 100. Son seul intérêt est la remise qu’elle permettrait d’avoir chez Singer dans le cadre d’une reprise pour l’achat d’une machine (pas d’entrée de gamme). La vendeuse (Singer Périgueux) me proposait une reprise de 100 euros.
Les conditions : venir récupérer la machine à Périgueux, ou Brive, ou Bordeaux / Arcachon le weekend prochain. Je ne demande rien en échange. Si personne n’est intéressé d’ici 15 jours, je la proposerais sur recupe.net et au bout des 15 jours suivants, je la mettrais à la déchetterie, ce qui serait dommage, si vous êtes sur le secteur et dans l’optique d’acheter une singer prochainement, ce qui n’est pas mon cas : je veux une brother !
A bientôt
Nanou

Bonne année à tous ceux et celles qui passent par ici !

Pendant que le zhom à côté de moi fait une étude comparative des différents petits chars qu'il pourrait s'acheter sur ebay (ce qui fait dire au petit mousse : "ooooh Papa, le zoli Sar !!!! Il est trop beau !), je me fais un petit retour en arrière sur une année riche en événements : une naissance, la découverte de la dentelle au tricot, une semaine de vacances de Noël en service pédiatrie, l'achat d'un ensemble complet d'aiguilles à tricoter en bambou, un congé parental, une nouvelle addiction au vernis à ongles (rayer les mentions inutiles). Bon. Mais en fait, qu'est-ce que j'ai fait ? Petite rétrospective légèrement mensongère puisque je fais commencer l'année en novembre 2010 (m'en fous, je fais ce que je veux avec mes cheveux et mon blog !)

Globalement, je suis assez fière : il me reste même des choses à vous montrer plus en détail...

Mais... cette rétrospective ne saurait être complète... sans... les ratés... les pas finis... les pas commencés...xxffdddddsdfgfdfgggggdfgggggggggfdddddddddddsgre (texte écrit par l'homme qui prétend me montrer que je fais trop de bruit en tapant sur les touches du clavier : ça l'empêche de réfléchir aux différents types de chars...)

En haut à gauche (fdlkgjsldmkjhlgdjhgmdkjf : traduction : arrêeeeeeeeeeeeeeete, "ça me crispe"). Je disais donc : en haut à gauche, un reconstructing clothes pas encore mûr ; à droite une barboteuse des IPBB dont la patte de boutonnage a failli m'envoyer à Vauclaire (traduction Hôpital psy, pour les non Périgourdins) ; en bas à gauche un Bitteroot qui était soit Bitter-, soit -root mais pas les deux au vu du nombre d'erreurs... ; un "owl baby vest" dont l'encolure était trop moche..., et un reconstructing pas fini d'un sweat qui, bon, enfin bof quoi...

Mes résolutions pour 2012 : tenir mes comptes à jour pour acheter plein de pelotes, apprendre le magic loop et terminer mes en-cours, et puis poster plus souvent !

ps : l'homme est pas content : il trouve que ce post le fait passer pour un militariste benêt... alors je précise : ce n'est pas le cas !

Pour le p'tit défi du 7 de Casa, voici un petit bonnet dans la même laine que le petit pull précédent. Ah bon, je vous ai pas dit quoi que c'est comme laine ? Bah, vous avez pas perdu grand chose, il s'agit d'une laine acrylico-acrylique achetée 3 francs 6 sous à La Foir*fouille ! Rhooo, la honte ! En fait, j'ai craqué sur la couleur. Puis de toutes façons, les magasins de laine ne sont pas légion dans le secteur.

Le modèle, c'est le bonnet norvégien de Madame Citronille, en taille 18 mois - 2 ans. Mais comme je ne suis pas une fille obéissante, je n'ai pas fait le nombre de diminutions suffisantes : j'avais l'impression qu'il allait être trop grand pour mon petit gars de 9 mois. Eh ben, c'est raté, j'aurais dû suivre le modèle...L'avantage, c'est qu'il se tricote très très vite, et donc je le referais en étant bien sage la prochaine fois ! Si, si c'est promis !

Comme vous pouvez le constater malgré le floutage, le sujet bonneté a l'air d'être satisfait ! Bob aussi a apprécié de se faire tirer le portrait ;)).

Quand au défi du 7, je ne l'ai pas vraiment respecté puisqu'on est le 8 !! Arriver à publier un billet dans les temps, trop dur pour la procrastinatrice que je suis !

C'est le temps de gestation qu'il a fallu pour ce tout petit projet complètement rikiki, tout droit, tout simple, qui devait être tricoté pour l'ainé et qui va au petit. Faut quand même préciser que le petit et le grand, c'est une question relativement difficile à départager vu qu'ils font presque le même poids : oui oui, ils ont 9 mois et 3 ans, cherchez l'erreur... On peut les départager en hauteur mais pas en largeur... Bientôt on pourra mais pas dans le sens le plus logique...

Pull à encolure bateau, Taille 2 ans (> 18 mois) issu des Intemporels de Citronille.

Sur la bête de 9 mois, ça fait ça (autant vous dire que ça taille TRES TRES petit !!!!!) :

Je vais peut-être resserer les coutures à l'encolure (non ça m'étonnerait que je trouve le courage !). Vous noterez le filet de bave sur le pull tout juste enfilé (j'adore)...

C'est promis, un jour, j'aurais plus de moche carrelage et j'apprendrais à faire des belles photos !

Après plusieurs mois de congé parental, la première chose à laquelle j'ai pensé, c'est : "Super, je vais avoir une heure pour moi, rien qu'à moi entre midi et deux !!". J'avais les pieds qui ne touchaient plus par terre rien que d'y penser.

Donc, après avoir acheté un chich kebab (histoire de poser mes doigts gluants de frites et de mayo sur mes en-cours), je suis partie fôlatrer le nez au vent sur le banc d'un célèbre jardin public périgourdin... Mmmmmm... à refaire...

Un peu de tricot, un peu de sieste, un chich kebab, du soleil mais pas trop... Le bonheur, quoi !

Modèle Saroyan de Liz Abinante, en coton Licorne de Phildar.

Un pur bonheur à tricoter !

Ici la traduction en français, s'il en reste qui ne connaissent pas encore, ce dont je doute...

Barbe noire (papa pirate) ayant pris un peu de ventre ces temps ci, j'ai un stock de chemises à recycler. J'ai donc cousu une chemisette au petit mousse de croizan (3 ans : ndt). Ben oui : j'ai horreur de faire les boutonnières, alors c'est toujours ça de pris !

Je ne vous montre pas la chemise avant reconstructing : c'est une chemise : vous voyez ce que c'est non ?

Par contre, je n'ai pas fait de col ni même le pied de col : j'avais trop peur de me louper, et en fait j'aime assez l'effet que ça donne...

Chemisette en coton d'une chemise de Papa, biais liberty cars de chez Fifi Jolipois (festival Le Lot et la Laine).

Modèle Chemisette en lin A du livre Boys and Girls (144 fr chez les JCA), en taille 100 pour un bonhomme de 3 ans. Aucune modification mis à part l'absence de col et de pied de col, remplacé par du biais. Ca taille très bien.

Très contente de ce premier reconstructing clothes ! Papa va avoir intérêt à rentrer son ventre, ou bien toute l'armoire va y passer !

Le festival du Lot et de la Laine, j'y étais ! Bien que coincée avec mon petit bout, d'abord en écharpe et puis en poussette (ce qui implique de ne jamais arrêter de bouger sauf pour lui donner à boire ou à manger, j'ai surtout vu l'aspect foire plutôt que festival ! Des choses superbes à acheter, mais les ateliers et les démonstrations, j'ai rien vu, snif, l'année prochaine, ça sera plus simple...

J'ai tout de même fait quelques folies, raisonnables mais des folies tout de même...

Voici mon butin :

En détail :

De la soie recyclée :

Et le super bon plan : le déstockage d'une filature (3 euros 60 les 3 bobines : j'aurais dû en prendre plus !)

Une pièce montée en 10 minutes, ça vous tente ? Et bien si c'est possible ! Et c'est avec cette idée que j'inaugure cette catégorie intitulée la cuisine des feignasses. Ben oui, un post tous les deux mois, vous appelez ça comment ? Moi, j'appelle ça une feignasse. Ce qui va suivre ne va pas me démentir...

Liste des courses :

- Deux paquets de gâteaux tout prêts à cuire.

- Du vermicelle coloré

- Des fraises tagada

- Du glaçage tout prêt à fondre (feignasse jusqu'au bout des ongles...)

Trois ans = trois étage ! Bon anniversaire petit moussaillon !

Je touche le fond de la procrastination la plus aigüe... Avec une quinzaine d'en-cours entamés dans tous les domaines textiles possibles et imaginables (non, en vrai, il me manque le macramé), je viens d'en commencer un nouveau...

Un nouveau domaine, une terre inconnue pour moi, des contrées sauvages et mystérieuses : j'ai nommé la dentelle au tricot ! L'histoire commence pendant une de ces longues tétées où la seule chose que j'arrive à faire, c'est glandouiller surfer sur la blogosphère. De fil en pelote, se fait jour en moi une évidence : il faut absolument que j'essaie ! A ce stade, c'est devenu une urgence. Le modèle est vite trouvé : il s'agit du Birch, sur Tricotin, dont tout le monde dit qu'il est parfait pour débuter. La laine maintenant : deux pelotes mohair / acrylique sans pedigree, couleur rose/orangé, disons corail pour succomber à la mode... C'est vraiment pas ma couleur préférée mais bon, dans l'urgence, on s'en fout. Le début est truffé d'erreurs et j'aime pas trop le résultat, mais c'est vrai : ça met bien le pied à l'étrier.

Ca me fait un peu penser au Cri de Munch, ou encore (et c'est la même chose) au masque de Scream :

Je n'ai même pas terminé le Birch que déjà s'insinue à nouveau le virus de la procrastination : Le Birch ne me plaisant pas, j'ai commencé un Saroyan. Au début, je me suis dit : bon allez, je fait juste un essai pour voir si je suis capable d'y arriver : et là, le coup de foudre, la révélation : oh my god, mais ça ressemble vraiment à une feuille !! :

Et là, c'est la drogue totale, impossible de s'arrêter... Pas débarrassé la table, pas fait de lessive, et j'en passe. Bon allez, juste une petite feuille de plus et après j'arrête. Oh, mon dieu, il est déjà 1 heure du matin, Bébé mini pirate peut potentiellement se réveiller d'ici trois ou quatre heures, argh, vraiment la drogue, c'est mal... Bon allez, demain j'arrête...

et les fleurs volent au vent ! Avec un petit sac issu de Lisette (136 chez les JCA) pour l'anniversaire de ma Môman... Je ne vous ferais pas l'affront de vous montrer les finitions...

Toile noire du marché et Liberty Eloïse.

Ce liberty, vieilli en fût de chêne dans les réserves familiales pendant 20 ans, a servi à faire une robe à ma mère. Je n'ai toujours pas remis la main sur la robe en question... Donc, au cas ou vous en doutiez, le liberty, c'est indémodable, et en plus, au bout de 20 ans, il est toujours neuf !

Petite attache intérieure pour ne pas chercher ses clefs pendant 3 heures (c'est du vécu...)

L'association "C'est moi qui l'ai fait" organise son premier café - tricot à Périgueux, le 18 mai prochain au café "Chez Pistache" (10 rue Eguillerie), de 16 h à 19 h. Venez nombreux !

Pour plus d'infos, voir http://www.rosamerenda.com/

Et c'est parti l'aventure ! comme nous dit tous les matins le petit mousse dont il est question sur les photos suivantes :

Petit short de garçonnet issu des Intemporels pour enfants de Citronille, en taille 2 ans, sans aucune modification, réalisé dans un coton chiné (dans tous les sens du terme) bleu trouvé aux Puces des couturières de Gourdon, dimanche dernier, à un euro le coupon...

Un bien chouette rendez-vous d'ailleurs les puces de Gourdon. Je remets ça le 16 avril à Uzerche en Corrèze.

Je le referai mais sans marges de couture : c'est trop large, ça donne un effet rigolo, mais bon...