Cadeau de fête des mères...
Enfin celui réalisé par moi pour ma maman, mes fils ne savent pas encore se servir d'une machine à couture (ndt : expression inventée par le petit pirate pour désigner une machine à coudre). Non pas que je prétende savoir m'en servir, m'enfin je sais déjà où se trouve le bouton marche-arrêt, et comment coudre (mais j'ai pas encore compris comment on fait pour coudre droit... C'est un mystère : pourtant j'ai arrêté de picoler il y a longtemps déjà...).
Trêve de plaisanterie. Voici l'objet du délit :
Vous aurez bien sûr reconnu le must have de cette saison automne-hiver printemps-été 2012 : le petit haut à manches froncées de Dame Citronille, dans le bien-nommé Coton, Lin et Liberty. Je continue donc mon exploration méthodique de l'ouvrage (en toute logique, je devrais bientôt attaquer la marinière, mais par contre, la robe bain de soleil ne passera pas par ce blog, non, non, non !). On s'est laissé dire que certaines avaient été effrayées par l'effet montgolfière très prononcé de ladite tunique. En effet, il est recommandé de prendre une taille en-dessous de la taille habituelle du sujet à qui est destiné l'objet, en l'occurence : ma mère...
Ce que les photos ne disent pas, c'est qu'elle a risqué une pneumonie pour satisfaire mon caprice de photos en extérieur : résultat des courses : c'est moi qui suis malade... Ca m'apprendra...
Haut à manches froncées, issu de Coton, Lin et Liberty, d'Astrid Le Provost, dans un coton des Coupons Saint-Pierre (Ca ne se voit pas, mais il y a des petites touches dorées dans le motif). Boutonnière ratée à la place de la bride (j'aurais pas dû !).
The noodle touch : le petit sac cadeau réalisé avec des photocopies de documents anciens :